Clivante ?
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À toutes et tous,
Si vous êtes ici c’est en réponse à l’appel de Sandrine Rousseau et de son équipe à créer cet espace d’échanges. Sans vouloir tomber dans le culte de la personnalité, Sandrine est un événement dans notre paysage politique, une voix magnétique au service de luttes trop souvent déviées dans les débats et qui nous a réuni.es ici. Ainsi peut-être vous êtes-vous déjà retrouvé.e confronté.e à l’argument — chimérique mais non sans impact — d’une personnalité dite clivante.
Personnellement j’y vois de la valeur car le clivage est d’abord le fruit d’une volonté ardente qui se confronte aux peurs institutionnalisées. Seules les paroles profondément convaincues sont à l’origine de telles réputations. Pourtant c’est un argument féroce et persistant pour lequel je manque parfois de réponses.
Comment répondez-vous à l’imputation d’une personnalité clivante concernant Sandrine Rousseau ?
Bien que cet espace soit dédié à des discussions plus grandes que quiconque, c’est une question que je souhaite poser afin d’écarter dès à présent les a priori de ceux dont le respect les confine à débattre de la femme et non de ses idées. -
Peut-être faudrait-il demander d’abord en quoi elle est clivante ?
Je crois que simplement faire définir, cela permet de désamorcer ! -
Ce n’est pas un argument chimérique.
Si tu pars du principe que ton interlocuteur est dans l’imaginaire à propos de Sandrine, tu ne pourras pas échanger avec elle ou lui.
Effectivement comme le suggère Sarah, sois curieux de savoir ce que la personne trouve de clivant chez Sandrine ; certaines réponses seront peut-être justifiées et d’autres non.
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