« Sensiblement politique » est un manifeste réalisé par Sandrine Rousseau, Adélaïde Bon et Sandrine Roudaut. Vous trouverez cinq épisodes correspondant à cinq accords pour une politique au service des êtres et du vivant. Un podcast produit par Création Collective ; publié en août 2021.
Chapitre 1 : « Écoutons le monde et l’époque ! »
À travers ce premier accord, nous découvrirons l’importance d’être à l’écoute des besoins de la Terre et ceux des êtres vivants.
Ce chapitre est suivi d’une réaction de Solène Ducretot, journaliste et réalisatrice et Priscilla Zamord, vice-présidente de Rennes métropole.
Chapitre 2 : « Déconstruisons ! »
Ce second accord nous amène à questionner nos prénotions et les déconstruire. Osons regarder le monde sous un angle différent afin de questionner les rapports de dominations !
Ce chapitre est suivi d’une réaction de Patrick Viveret, philosophe, essayiste, conseiller à la Cour des comptes.
Chapitre 3 : « Réconcilions-nous ! »
Ce troisième accord à pour but de reconnaître un passée douloureux, dont les plaies sont parfois encore à vif. Dès lors, nous devons construire ensemble une communauté où le respect de l’environnement et des singularités ne font qu’un.
Ce chapitre est suivi d’une réaction de Mahdiya Hassan-Laksiri, membre fondatrice du collectif Idéelles, présidente d’Aide à domicile pour tous, enseignante.
Chapitre 4 : « Ressentons ! »
Ce quatrième accord est un appel à écouter et à laisser exprimer notre sensibilité, notre empathie. Largement mise de côté dans notre société, les émotions sont là pour nous guider et nous protéger.
Ce chapitre est suivi d’une réaction d’Isabelle Attard, archéozoologue, directrice de musée et femme politique.
Chapitre 5 : « Soyons radicaux ! »
Ce cinquième accord propose de revenir sur le sens du mot « radical ». Issu de racine, ce mot nous invite à revenir à l’essentiel. Être radical nous permet d’innover et d’imaginer une autre manière de vivre en communauté, plus viable pour la Terre et les êtres-vivants. Alors, qu’attendons-nous ?
Ce chapitre est suivi d’une réaction de Maxime de Rostolan, ingénieur, entrepreneur et lobbyiste écologiste.